Stéphanie Dembak-Dijoux
45 ans, Paris, Ile-de-France
Mon parcours
Je m’appelle Stéphanie Dembak-Dijoux. Je suis née en 1978. Je travaille dans le secteur financier. Je suis colistière sur la liste Europe Écologie aux élections européennes 2024.
Originaire du Limousin, j’ai passé ma jeunesse dans une cité-dortoir de la banlieue parisienne au-dessus de 12 voies d’autoroute avec en point de mire l'aéroport d’Orly. Un environnement où les droits fondamentaux, droit à un logement digne, à l’égalité des chances ou à l’emploi, sont mis à mal. Un horizon quotidien de béton, de bruit et de pollution qui a forgé mon âme d’écologiste.
Depuis 2001, je vis dans le 19e arrondissement de Paris où je suis depuis 2020 adjointe chargée de l’économie sociale et solidaire, de l’économie circulaire et du numérique. En parallèle de mon engagement politique, je travaille depuis 20 ans dans le secteur financier, en particulier sur la réglementation financière et les enjeux numériques.
Mes combats
Confrontée à l'omniprésence du numérique dans nos vies, je me bats depuis toujours pour assurer, malgré la dématérialisation, l’accès au droit de toutes et tous. D’abord en tant qu’aidante numérique, puis désormais au travers de politiques publiques pour un numérique inclusif et responsable.
Mais surtout, forte de mon expérience professionnelle, j’ai compris que la transition écologique est indissociable d'une transformation profonde de notre modèle économique, et je me suis engagée dans la bataille pour une finance au service de l'écologie politique via le développement de l'économie sociale et solidaire.
S’il y a un levier essentiel dans la transformation de notre économie vers plus d’écologie et de justice sociale c’est bien le levier financier.
Mes ambitions pour l'Europe
D’une part, porter la voix de l'écologie politique française sur les sujets numériques. Libertés publiques, accès au droit, droit à la déconnexion, empreinte environnementale, nous avons beaucoup à défendre.
Mais surtout je porte l'idée que l'Europe détient un levier fondamental pour opérer la transition écologique à travers la régulation financière. Face aux puissantes forces de lobbying, je n’ai peur ni de l’ampleur de la tâche, ni de sa difficulté. Je suis déterminée à mettre la finance au service des territoires, d’une économie respectueuse de notre planète, de l’humain et du vivant en général.